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il y a 9 ans
Klapp... Klapp... Klapp... Retentissaient les sabots du cheval sur pattes sur les pavés durs et brûlants de la route, faisant tourbillonner de petits nuages de poussière. Denise s'appuyait en arrière et regardait, intéressée, le large dos du cocher taciturne assis devant elle. Alors elle ouvrit son sac à main, prit la lettre d'embauche de Madame Babouche et recommença à la lire minutieusement. Finalement elle toucha le bras du cocher et demanda : . " Dites moi, Jacques, quel âge ont les e n f a n t s à Saint. Montagneux ?" . " Brrr.. ? Jacques, le cocher noir de cheveux, tira sur les rênes et arrêta la voiture lentement il se retourna et regarda en fronçant les sourcils la jeune femme, élancée, sur le siège arrière. .
" Il ressemble à un pirate, pas mal " pensa Denise un long moment après. . "Des e n f a n ts ? Pourquoi parlez vous d'e n f a n ts ? Il n'y a aucun e n f a n t à Saint. Montagneux. Là habitent le vieux Monsieur, Madame et Monsieur. Mademoiselle Lisette, mais qui est déjà adulte, Madeleine la vieille femme de ménage, la cuisinière et moi." . " C'est curieux", expliqua Denise, et elle montra dans sa main la lettre . . " Madame demande en plus si je suis qualifiée dans l'entretien et les soins à donner aux bébés et aux petits e n f a n ts." Sur le visage du cocher apparut un large rictus. .
" Ah, bon..." dit. il d'une voix traînante. Il se retourna de nouveau par devant et rendit les rênes au cheval. Avec un énergique " Hue, vieux ! " La voiture continua de nouveau à rouler. . " Hé, Jacques, vous êtes un grossier personnage !" protesta Denise," Ce n'est pas une réponse. Comment se fait-il que Madame m'écrive cela, s'il n'y a aucun e n f a n t au domaine ?" Jacques regarda par derrière au dessus de son épaule. Il ricana encore. . " Attendez, Mademoiselle. Vous serez bientôt renseignée. Alors il fit claquer son fouet et laissa trotter le cheval. Après environ vingt minutes de trajet, ils atteignirent Saint. Montagneux. Ils tournèrent dans la cour large et spacieuse du Domaine. Denise curieuse, regarda autour d'elle pendant que le cocher mettait pied à terre et déchargeait sa valise. .
" Venez, Mademoiselle ", et faisant un signe, " Je vous conduis à la maison." Denise descendit et suivit le cocher qui avait pris la valise et gagnait la maison à grandes enjambées. Elle se dépêcha de rejoindre Jacques autant que ses bottines et sa robe étroite le permettaient. Ils s'arrêtèrent devant l'entrée imposante à double battant. Jacques s'assit sur la valise et l'observa en la jaugeant. Denise sourit encore un peu et remonta une mèche cheveux sur son front. . " Je crois que mon tailleur de Paris n'est pas approprié à la Normandie. Je devrai m'habituer à des affaires plus solides." . " Sûrement", approuva Jacques de la tête," vous devrez vous habituer encore à de toutes autres choses si vous voulez rester ici." Denise hocha la tête, agacée. . "Jacques, que voulez vous encore dire maintenant?" . "ah, rien de plus. Vous êtes une personne dégourdie. Vous le verrez bien vous même. Vraisemblablement plus tôt que vous ne pensez. Au revoir. Jusqu'au dîner." "Au revoir, Jacques." Elle lui tendit la main et dit en riant ;
"Dites moi simplement Denise. J'espère que nous nous entendrons bien ensemble." Là dessus il fit un mouvement du pouce en direction de la maison et de nouveau sur son visage de pirate audacieux, apparut une grimace joyeuse et puérile, Rêveuse, elle le suivit des yeux lorsqu'il retourna lentement vers la voiture et s'assit sur le siège.
Que voulait dire Jacques avec ses allusions ? Denise avait 28 ans. Depuis sa 18éme année elle travaillait comme femme de chambre, et elle avait acquis une grande expérience de la vie. Bien qu'au service exclusif des dames dans une maison il était usuel que les hommes par nature, du maître de maison en passant par le valet de chambre jusqu'au jardinier aient des prétentions de possession plus ou moins palpable contre lesquelles Denise pouvait quelquefois difficilement se défendre. Maintenant Denise n'était plus prude. Celui qui lui plaisait avait tout à fait sa chance auprès d'elle. Seulement elle voulait elle même décider avec lequel elle se mettrait au lit, ou pour lequel elle se coucherait une fois rapidement sur un banc de jardin.
Mais qu'attendait-elle, ici, au Domaine de Saint. Montagneux ? Elle se raidit, prit sa valise et frappa au lourd heurtoir bronzé. Des pas résonnèrent dans la maison, la porte s'ouvrit, et devant Denise se tint une jeune fille assez potelée, avec un petit nez retroussé, des amusantes taches de rousseur et des cheveux bruns bouclés en désordre. La tête bouclée lorgna curieusement Denise et dit ensuite favorablement : . " Mais tu, es jolie. Nous n'avons encore jamais eu ici une aussi jolie jeune fille alors tu es Denise, la nouvelle servante, pas vrai? Maman m'a dit que tu arriverais aujourd'hui." Denise approuva de la tête et entra dans le vaste vestibule.
La tête bouclée lui tendit une petite main ferme et dit : . " Bienvenue à Saint. Montagneux. Je suis Mademoiselle Lisette." La dessus, elle pinça les lèvres d'une manière distinguée et sur son visage agréable et espiègle apparut une grimace qui se brisa aussitôt dans un rire joyeux et dit : . " Dis moi tranquillement Lisette, lorsque nous serons entre. nous. Je ne suis ni sévère ni consciente des traditions comme maman et grand. père Pierre. Viens, je te montre ta chambre et ensuite je te présente à maman." Lisette laissait flotter autour d'elle une odeur douçâtre et acide que Denise ne pouvait localiser. Elle regarda la jeune fille montant les escaliers devant elle, les cuisses et les fesses fermes sous une robe d'été courte et légère et elle pensa en plus que la petite avait une culotte impossible à mettre. Lisette, d'une voix joyeuse l'arracha à ses pensées. . " Nous y sommes. Tu habites là." La petite chambre était claire et gaie.
Le regard de Denise détailla l'installation simple mais propre et resta accroché au lit fraîchement fait. Elle regarda d'un air interrogateur Lisette qui ouvrit le lit et effleura je drap lisse de couleur rouge brun. . "C'est un drap en caoutchouc tout neuf. Tu es surprise, pas vrai ? Je suis venue spécialement pour voir ton visage lorsque tu découvrirais le caoutchouc." Elle s'assit sur le lit avec un 'plouf' sonore et montrant la table de nuit : . " Tu seras encore plus étonnée lorsque tu verras ce qu'il y a dedans. Tu paries ?" Denise tira lentement le tiroir et toucha l'intérieur. .
" Qu'est ce...pour qui sont ces affaires ?" bredouilla t'elle, consternée. Dans le tiroir étaient rangées des culottes en caoutchouc et pour le moins trois douzaines de couches proprement empilées. Lisette éclata de rire. . "Mon Dieu, si tu pouvais te voir maintenant ! Oui, toutes ces choses là sont pour toi. J'ai choisi pour toi, en commun avec maman, les culottes en caoutchouc. Viens ne fais pas une tête si épouvantable assise toi à coté de moi !" Ce faisant elle tira Denise sur le lit. . "Regardes," continua t'elle sérieusement," Maman a un faible pour le caoutchouc et les bébés. Elle est très sévère et ne voit là dedans aucun amusement. Elle a reporté son faible sur toute la famille. Regardes !" Lisette se leva et remonta sa robe au dessus de la taille. Elle portait une culotte en caoutchouc d'un rouge éclatant, bien remplie. A ce moment Denise sut d'où venait l'odeur douceâtre. . " Sais tu que dans la journée je la porte souvent sur la peau nue. Maman pense que çà ne se voit pas, d'habitude elle me descend jusqu'aux genoux." Elle prit Denise par la main et un espoir craintif perça dans sa voix lorsqu'elle dit : .
" Tu ne repars pas, Denise ? Tu restes quand même parmi nous ? Toutes les autres jeunes filles sont reparties à cause du caoutchouc et aussi parce que maman est très sévère. Pourtant tu restes avec nous, pas vrai ? On peut avoir aussi beaucoup de plaisir avec le caoutchouc. Ensemble avec Jacques, par exemple." Sa voix devint comme un murmure. Cela peut rendre quelqu'un entièrement lubrique. S'il te plaît, Denise, restes !"
Denise se leva et dans un emportement de tendresse prit pour un moment Lisette contre sa poitrine. . " Viens, nous devons aller voir ta mère, d'ailleurs elle est certainement impatiente." Elle jeta un regard dans le tiroir ouvert et demanda en clignant des yeux : . " Si je m'habillais tout de suite ?" Interloquée, Lisette regarda Denise. . " tu voudrais bien le faire ?" Denise haussa les épaules. . "Je dois bien commencer un jour, si je veux rester ici. Aides moi à défaire mes affaires ?" Elle posa sa valise sur la table et ouvrit les serrures. Contente Lisette l'aida à la déballer. Denise retira une courte robe noire, des bas noirs, un petit bonnet et un tablier, et elle commença à se déshabiller. Lisette l'observait avec un regard émerveillé. . " 0h, Denise" cria t'elle enthousiasmée, "comme tu es jolie, que tu as une mignonne culotte." Denise encore vêtue de son slip en soie rose bien ajustée, se tourna coquette. Lisette s'approcha d'elle et caressa du bout des doigts le tissu brillant. . "
Merveilleusement lisse, n'est ce pas ? " demanda Denise. Lisette hocha la tête. Excitant de douceur, où l'as tu eu ?" Denise pinça les lèvres. "à ce sujet, on n'en parle pas en femme, mais tout à fait confidentiellement, ma dernière patronne avait 50 ans et Monsieur seulement 38 et il était fichtrement bien. Ho, oui !" . " 0ui et pourquoi es tu partie de là ?" . " Pffft ! Madame a trouvé tous les jolis dessous que Monsieur m'avait offert." . " Et tu aimes la soie lisse ?" . " Oui, évidemment! Elle est si caressante, si douce, si 1égére, divinement excitante." Lisette sourit, futée. . " Alors tu trouveras le caoutchouc encore plus excitant et elle donna une tape amicale sur les fesses de Denise. .
"Viens, enlèves ton slip. Je te cherche une culotte en caoutchouc qui t'ira bien. Je peux ? Je sais déjà laquelle." Elle ouvrit encore plus le tiroir et après une courte recherche, elle retira une culotte en caoutchouc rose, collante avec des élastiques aux cuisses. " Elle est bien. Tu n'as pas besoin de mettre de couche avec, mais tu peux, par précaution mettre dessous une petite culotte en coton cas ou maman t'examine." "Effectivement, c'est encore plus lisse que la soie, et même plus excitant:. Je veux l'essayer tout de suite, mais sans rien dessous. Elle regarda Lisette. . " Tu m'aides ?" D'un court mouvement de la main, elle ôta la culotte de soie, et reprenant son souffle, enfila la culotte en caoutchouc tenue par Lisette qui la lui remonta lentement sur les cuisses. Mais tu as à peine de poils à ta moule, et comme elle est étroite et rose dit Lisette étonnée et elle regarda fascinée le coquillage de Denise orné d'un duvet tout léger et roussâtre. . " Je me suis toujours rasée autrefois. Monsieur me voulait ainsi." . " Ah oui, pour faire 'minette' avec plus de plaisir" Denise se mit à rire. .
" Mais tu t'y connais, Lisette. Quel âge as tu vraiment?" . " 18 ans, mais j'ai commencé plus tôt, ici dans le pays on commence de bonne heure." . "As tu une idée de l'âge auquel commencent les jeunes parisiennes ? " . " Mais arrêtes, tu m'excites avec tes doigts. Laisses moi remonter ma culotte." Denise se regarda un moment dans la glace et tendit le caoutchouc sur sa moule. . " Oui.... mais on peut tout voir" s'écria t'elle avec effroi, lorsqu'elle remarqua comme le caoutchouc épousait les formes de son corps. . " Il est vraiment excitant, n'est ce pas ? Si Jacques voit cela, il te baisera sûrement aussitôt." . " Jacques ?" . " Oui, Jacques est insatiable, et il se jette sur tout ce qu'il peut trouver, ici, à Saint Montagneux. n'y a que maman, toi et moi, qui répondons à sa demande. Charlotte et Madeleine sont trop vieilles." Denise était un peu habituée, mais maintenant elle dévisageait Lisette, assez interloquée. . "Madame.. ta mère...et Jacques ?" Lisette haussa les épaules. . " Maintenant papa s'occupe toujours de notre servante, alors maman a conclu avec lui un gentleman agrément. Mais je veille à ce que Jacques ne sorte pas trop souvent avec maman, sinon il est trop fatigué le soir. Avant je suis allée chez mon grand père Pierre et je me suis laissée chatouiller par lui.
Çà, il peut bien, mais pour le reste ce n'est plus une vraie queue. D'ailleurs, avec maman, je laisse Jacques me mettre mes couches. Claire, notre dernière servante m'a toujours langée avec dégout. Et lorsque j'étais mouillée le matin, elle voulait me punir pour de bon, ainsi que maman le fait. Elle ne pouvait pas concevoir que je prenne du plaisir à mouiller mes couches. Jacques est beaucoup plus affectueux, et lorsqu'il me tanne réellement le derrière, alors j'en jouis vraiment. Dis, Denise, veux tu me langer avec douceur et me prendre souvent sur tes genoux ? D'accord aussi pour que maman, papa et grand. père te tannent les fesses ?" . " Ainsi ils font cela ?"dit Denise en levant les sourcils. . " Naturellement Grand père le fait symboliquement, papa seulement lorsqu'il veut te baiser, maman bien entendu le prend très au sérieux." .
" Eh bien " médita Denise, "Alors je peux m'attendre à certaines choses." Là dessus elle remonta ses bas, les fixa à son porte jarretelles, se glissa dans ses vêtements de femme de chambre, noua le tablier et se coiffa du bonnet. . " Nous partons ?" demanda t'elle à Lisette. Lisette hocha la tête. Avant qu'elles ne sortent de la chambre, elle se retourna vers Denise et lui demanda : . " Baisses toi, s'il te plaît !" Denise la regarda sans comprendre mais se baissa cependant, la tête en avant. Lisette claqua des mains. .
" Magnifique, la culotte en caoutchouc te va à ravir. Maman sera enchantée." Madame, 40 ans, mince, de haute taille, accueillit Denise d'une manière réservée, mais très amicale. Elle lui posa les questions habituelles et lui expliqua son travail. . "Denise ", dit. elle, " en premier lieu, vous vous tiendrez à la disposition de Lisette et de moi. Ceci dit, vous êtes là aussi pour mon mari et une fois par semaine, le soir, vous vous occuperez de mon père, spécialement en lui faisant de la musique et la lecture. Je vous ai déjà informée des limites de mes conditions d'embauche. Une de vos taches principales a peut. être quelque chose d'étrange et demande. Pour cela beaucoup de facultés d'intuition et de compréhension. Je vous l'expliquerai." A ce moment Lisette qui se tenait à coté de Denise, laissa tomber son mouchoir.
En une fraction de seconde, Denise regarda Lisette et comprit. Elle se pencha le dos tourné à Madame, et ramassa le mouchoir. Madame Babouche fut surprise et interrompit son discours. Un sourire conquérant se répandit sur elle. Avec un léger mouvement de la main, elle attira Denise près d'elle et souleva sa robe. . " Je suis contente. Ma fille vous a déjà admise. Vous vous adaptez vite, Denise, cela me plaît. Mais vous devriez, au moins pendant la journée, porter une culotte de coton sous la culotte en caoutchouc. Le caoutchouc sur la peau nue excite beaucoup trop. Vous serez vite irritée et des fesses rouges fortement talquées ne sont pas un spectacle réjouissant pour un homme. De plus la culotte en caoutchouc ne serait pas assez étanche si vous vouliez vous laisser aller dedans. " Denise rougit et fit la révérence. . "
Très bien, Madame." Madame Babouche fit signe que non. . " Je veux le faire rapidement. Chaque matin à 9 heures nous avons l'habitude de déjeuner. Notre cuisinière prépare tout, vous n'avez qu'à nous l'apporter. Vous vous présenterez à moi à 8 heures30 et vous m'aiderez à m'habiller. Vous pouvez déjà avant de sservir Lisette. Après le petit déjeuner vous vous souciez de ma chambre et de celle de Lisette. Mon mari vous dira s'il a besoin de vous. Vous faites les achats avec Charlotte et vous préparez la table pour midi. Après midi vous vous occupez des Meurs et des plantes vertes. J'aime avoir des Meurs fraîches tous les jours. Le café est servi à 16 heures, le dîner à 19 Heures. Je me retire le plus souvent à 21 heures. Quand Lisette va au lit, vous vous conformez avec elle. Suivant le cas, nous discuterons de votre jour de sortie. Avez vous quelque chose à demander la dessus ? " .
" Non, Madame." .
" Bien ! Lisette, montres la maison et la cuisine à Denise. Votre service commence demain matin. Alors je vous présenterai à mon mari et aussi à mon père. Vous pouvez aller maintenant !" . "Merci, Madame. " Ce soir là Denise resta longtemps éveillée. Le drap en caoutchouc qu'elle n'avait pas retiré du lit par curiosité, déclenchait à chaque mouvement sur sa peau, un picotement étrange. La culotte en caoutchouc serrée à la taille et aux cuisses lui donnait un sentiment nouveau et inhabituel de sécurité. Elle commençait à comprendre Lisette et Madame Babouche. Reprenant haleine, elle se coucha en arrière et chercha à se détendre. En vain. Lentement elle promena ses mains çà et là. Ses cuisses s'ouvrirent et ses doigts énervés commencèrent à caresser sa chatte à travers le caoutchouc protecteur de la culotte. Une sensation agréable encore inconnue, s'empara du corps de Denise. .
" Mon Dieu, je jouis " murmura t'elle doucement et elle se roula sur le ventre en gémissant. La sensation du drap en caoutchouc chaud avec lequel son visage et le bout de ses seins étaient maintenant en contact intensif, était si nouvelle et sa lubricité telle qu'elle releva les genoux, écarta encore plus ses jambes et commença à se branler v i o l e m m e n t. L'orgasme vint rapidement Comme une nuée de Flammes de feu, il embrassa tout son corps. Un cri étranglé s'échappa de ses lèvres, elle s'allongea exténuée sur le drap en caoutchouc et ferma les yeux.
Elle sentit comme sa sève coulait de sa moule dans la culotte et répandait une chaleur bienfaisante Elle s'étira sur le caoutchouc et s'endormit heureuse. Le sommeil de Denise fut paisible et sans rêve. Elle fut réveillée en premier par un coup frappé à la porte de la chambre. Effrayée, elle regarda à sa montre et se trouva rassurée qu'il ne fut que 7 heures. . " Oui ? " demanda t'elle encore endormie. " Qui est là ?" A ce moment la porte s'ouvrit et Lisette entra rapidement. Denise remarqua que sa culotte était mouillée et collait à sa peau et qu'on pouvait le voir très clairement. Vite elle Lira la couverture jusqu'au menton.
A suivre ICI
C'est vrai que certaines culottes en caoutchouc portée à même le corps auraient tendance à devenir caressantes là où ce n'est pas désagréable. | |
Là on frise l’indécence et la perversité si excitante. Je sens que ce texte va faire dans l'originalité puissance 10. | |
je porte tres souvent une culotte en caoutchouc sans couche et je dors sur un drap en caoutchouc cause pipi,la culotte ne reste pas longtemp seche,mes fesses trampant dans le pipi,pour sortir je met une couche et la culotte,idem pour dormir |
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